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La louenge des yeulx d’une Katherine
AÀ vngung bancquet que l’autre iourjour ieje fiz
Venus y fut :, et Cupido son filz ;
f. 30 r°
Pareillement se y trouva ma maistresse ;
ApresAprès soupper chascun de nous s’adresse
5AÀ vngung iardinjardin/, pour son esbat y prendre ;
LaLà Cupido aà son arc faire tendre
Passoit son temps/, et Venus s’amusoit
AÀ veoir m’amye/, alors qui deuisoitdevisoit
AuecquesAvecques moy :, et toute remplye d’ire
10AÀ tout parsoy/, luy ouys ces motz dire :
« Mon filz ne peult., et moy rien ieje ne vaux ;
OuOù sont les yeulx de ceste Katherine ?
Fy de mon filz/, et fy de mes flambeaulx,
Car son regard/, nostre force termine. »